Not wasting the opportunity, and while commenting on the article in the French magazine Le Point that was written nu Franz-Olivier Giesbert, Turkish reports said that "under the Ottoman administration Greece was a country without any problems", while it suggests that Europe give it back to Turkey so that we can calm down, "and so can they." (Source in Greek - prionokordela)
The article in Le Point (as featured below) says that If Europe refuses to financially support Greece, will the SYRIZA party bring Greece closer to Russia? Why not China, Venezuela and Qatar? Unless Turkey, as heir to the Ottoman Empire, assumes (iGreece's ownership) once again. Until its independence in 1832, Greece lived four centuries under Ottoman rule."
(Ti allo tha akousoume Theouli mou!)
Here is the original article in Le Point - read more by clicking here
Faut-il sauver la Grèce ? Jusqu'à présent, l'Europe a tout fait pour la sortir des eaux. En la renflouant à coups de centaines de milliards d'euros.
Mais plus l'Europe l'aide, plus la Grèce lui en veut : elle mord même la main qui la nourrit, comme en témoigne la percée aux élections du 6 mai de la gauche radicale et anti-européenne (Syriza), en passe de devenir la première force politique lors du prochain scrutin, le 17 juin.
Qu'importe si les solutions économiques de Syriza sont débiles et ridicules : avec un endettement qui représentait, l'an dernier, 165 % de leur PIB, les Grecs ne veulent pas entendre parler de rigueur. Il est donc permis de se demander s'ils veulent se sauver eux-mêmes.
Si l'Europe refuse de continuer à subventionner la Grèce à perte, Syriza entend, paraît-il, organiser un rapprochement entre son pays et la Russie. Mais pourquoi pas avec la Chine, le Venezuela ou le Qatar, pendant qu'on y est ? À moins que la Turquie, héritière de l'Empire ottoman, ne se "dévoue", une fois de plus. LE POINT
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